top of page

Pourquoi un traducteur professionnel devrait-il toujours traduire vers sa langue maternelle?


Personne devant un ordinateur portable prenant des notes sur un calepin

Si un traducteur peut se spécialiser dans plusieurs langues — de même que dans quelques domaines (ex. : juridique, financier, informatique, médical) —, un véritable professionnel effectue toujours une traduction vers sa langue maternelle. Il s’agit d’une règle d’or que nous respectons scrupuleusement chez Joseph Blain Inc. à Montréal. Poursuivez votre lecture pour en savoir plus!

L’influence du contexte socioculturel Une traduction de qualité supérieure est idiomatique, c’est-à-dire qu’elle prend en considération le contexte socioculturel propre à son public cible. Par exemple, le français québécois n’est pas identique au français de France. Ainsi, alors que dans la Belle Province, nous employons « dîner » pour désigner le repas du midi, ce terme renvoie au souper dans le pays d’Europe. Ce genre de détails pourraient échapper à un traducteur « non natif », qui croirait à tort les deux mots interchangeables. Chez Joseph Blain Inc., notre équipe ne se ferait pas prendre au piège! Les 1001 nuances de la langue Si un traducteur peut certainement lire, écrire et parler couramment plusieurs langues étrangères, il n’en maîtrisera jamais les moindres nuances comme celles de sa langue maternelle. D’une part, son vocabulaire est plus riche dans celle-ci, lui permettant conséquemment de recourir à un registre plus soutenu. D’autre part, il en connaît aussi mieux les tournures de phrase, les expressions caractéristiques, les inventions de langage, les usages populaires ainsi que les exceptions, la ponctuation, la grammaire, les règles typographiques et les autres subtilités. Il en résulte une traduction nettement plus précise. Un traducteur d’ici sait que, selon l’Office québécois de la langue française (OQLF), il faut dire « être dans les affaires » plutôt que « être en affaires »; que « leader » est un anglicisme accepté; que « donner son 4 % » à quelqu’un signifie le licencier; que les adjectifs numéraux sont invariables en nombre, hormis « vingt » et « cent »; qu’il y a obligatoirement une espace devant les deux points, etc. Chez Joseph Blain Inc., réseau d’interprètes et de traducteurs offrant des services à Montréal et dans le reste du Canada, nous réalisons entre autres la traduction de documents juridiques ou officiels (contrat, acte, jugement, etc.), de certificats (mariage, divorce, naissance, etc.) et de manuels techniques (brevet, schéma, plan, etc.). Nous exerçons par ailleurs dans une multitude de langues : français, anglais, espagnol, italien, allemand, arabe, portugais, etc. Faites appel à nous pour un travail irréprochable!

bottom of page